Dans l'hypothèse du Plan B, on ne souligne jamais assez l'efficacité politique que pourrait connaître la Belgique "subsidiaire" par rapport à l'embrouillamini actuel. Celui-ci est principalement le fruit des concessions que se sont faites mutuellement Flamands et francophones, sans beaucoup d'égard quant à la qualité des institutions ainsi mises en place.
Aujourd'hui:
- Gouvernement fédéral
- Chambre des Représentants
- Sénat
- Gouvernement de la Communauté française
- Parlement de la Communauté française
- Gouvernement de la Communauté germanophone
- Parlement de la Communauté germanophone
- Gouvernement wallon
- Parlement wallon
- Gouvernement bruxellois
- Parlement bruxellois
- Collège de la Commission communautaire française de Bruxelles
- Assemblée de la Commission communautaire française de Bruxelles
- Collège de la Commission communautaire flamande de Bruxelles
- Assemblée de la Commission communautaire flamande de Bruxelles
- Collège de la Commission communautaire commune de Bruxelles
- Assemblée réunie de la Commission communautaire commune de Bruxelles
- Collèges et conseils provinciaux
- Collèges et conseils communaux
Plan B:
- Gouvernement belge (où les portefeuilles ne seront plus à répartir entre six partis au minimum...)
- Chambre des Représentants
- Collèges et conseils communaux
- et sans doute quelques Communautés de Communes (pour rationaliser la collecte des déchets et la gestion des pompiers)
Un pays de la taille d'une grande ville a-t-il réellement besoin de plus pour bien fonctionner ?